La grande borne

Une ballade au sein d’un quartier….chaud. La grande borne n’est en effet pas un endroit très bucolique et c’est à l’occasion d’une séance de cours de vélo de Benoît que je m’y suis rendu pour rejoindre un atelier réparation de vélo.

Un parcours de 10 km en incluant le cours. Une distance facile mais une distance débutant. Cela me va bien, même pas fatigué !

Le bilan via l’application CycleDroid:

Et pour ceux qui voudrait faire le trajet, voici le plan:

Juste pour le plaisir… CC-BY-SA

A charge de revanche

Nous voulions faire une randonnée avec le VCBS en utilisant un porte-vélo. En effet démonter la roue avant dérègle l’écartement des patins de frein. Malheureusement le temps de montage nous a mis en retard et nous avons raté le départ. En outre le rail ne s’adaptant pas bien à la taille d’un vélo 28 pouces, la fixation  des 2 demi-rail était mal assurée. Chaque rail qui portait les vélos ployait sous le poids de ceux-ci.

Finalement nous somme arrivés en retard et les autres étaient déjà partis alors pour nous consoler nous sommes allés faire un tour dans notre quartier.

J’ai voulu mixer nos précédentes ballades en évitant le plus possible les routes afin de ne pas croiser d’automobilistes. J’ai peu confiance en leur civisme envers les cyclistes.

J’ai refait le tours entre Ris-orangis et Grigny mais au lieu de rentrer je suis descendu jusqu’au lac de grigny où la pente m’a permis d’atteindre la fantastique vitesse de 30 km/h.

Un halte sur le bord du lac….

…puis il faut bien repartir.

La remontée fut moins glorieuse et nous avons mis pied à terre à 2 reprises.

Nous sommes ensuite revenus aux jardins familiaux puis avons pris la piste cyclable jusqu’au ru Écoute s’il pleut. On  s’est arrêté à la RN7.

Nous étions bien fatigué et il nous restait juste assez de jus pour revenir sans être sur les rotules.

On s’améliore mais notre condition physique ne nous permet pas encore de faire de grande randonnée d’une traite.

Juste pour le plaisir… CC-BY-SA

Petit tour entre Ris-orangis et Grigny

Après une journée de travail assis derrière un micro et malgré un trajet peu confortable en RER, j’avais envie de faire un petit tour de vélo.

Ris-Orangis est traversée par quelques pistes cyclables qui permettent de se dégourdir les jambes en sécurité loin de la circulation.

Partant du chemin du clos Langlet, on prend le chemin entre les jardins familiaux et la déchêterie. Arrivé à l’avenue Paul Langevin on va à gauche pour traversé la rue et passer entre les bâtiments industriels. Que du plat.

On passe au dessus des voies du RER D  juste avant l’A6. On pourrait continuer pour rejoindre le bois de Saint Eutrope mais on va tourner à droite pour longer l’A6. Une grande ligne droite entre l’A6 et la N441.

La route s’arrête à au chemin de Plessis. Il faut passer de l’autre côté et à droite vers grigny. En continuant rue des jardins de la Ferme on trouvera sur la droite une voie réservée de bus pas encore en service que l’on pourra longer puis à gauche rue Saint-Exupery. De la il faut couper vers le commissariat et la salle de sport pour rejoindre avenue de la première armée Rhin et Danube.

Descendre l’avenue par la gauche et au feu aller à  droite vers avenue des Tuileries jusqu’à la route de Grigny à Ris-orangis où une piste cyclable nous attend. Une fois devant le collège Albert  la piste coupe la route pour rejoindre Rue Teilhard de Chardin.

La piste cyclable nous ramène à la déchêterie et es jardin familiaux. Le chemin du clos Langlet n’est plus loin et signé la fin de ces 5 km de ballade.

Juste pour le plaisir… CC-BY-SA

Toutes à Fontainebleau

Organisée par le comité départemental de cyclotourisme de l’Essonne, l’objectif était de promouvoir le cyclotourisme féminin. Cette ballade de 60 km (30 + 30) fut la première véritable randonnée pour mon VTC et j’ai y ai pris conscience de mes limites.

Départ au parking du château de Courance, nous étions arrivé alors que quasiment tout le monde était déjà là.

Les vélo vite sortis de coffre je me rendis compte qu’un porte vélo est quand même plus pratique.

En effet démonter la roue et la remonter est une perte de temps et dérègle le système de freinage.

La première partie du parcours chemine d’analyse Courance puis dans la campagne. Le terrain est plat excepté la montée devant le château. On passe sous la A6 puis on traverse de petits village dont le très joli Barbizon à la sortie duquel un ravitaillement nous attendait.

On rentre alors dans la forêt et la route est encore  assez fréquentée. Une première côté doit être franchie et sonne comme un premier coup de semonce devant mon manque d’entraînement. Heureusement que après le terrain redescend vers Fontainebleau.

J’avais remarqué depuis le départ que ma roue arrière était un peu dégonflée et après avoir remis de l’air par 2 fois, la réalité d’une crevaison s’imposa.

Heureusement que j’ai reçu de l’assistance parmi les participants et que j’avais une chambre à air de rechange.

Après réparation vint le moment du repas.

Cette pose fut un peu courte pour les débutants comme moi. La reprise par le sortie côté jardin commence par une petite monté puis encore quelques kilomètres un peu vallonné.

Un premier arrêt de la voiture balais au 30e kilomètres. C’est là où j’aurais dû m’arrêter même si je me sentais encore bien. Au bout de quelques kilomètres plus loin la fatigue commença à me gagner.

Encore confiant je n’ai pas pris cette 2nde voiture balais et mal m’en prit. J’ai galeré même avec l’aide de vélo balai qui me poussait. Sur les derniers kilomètre j’étais en petit plateau et grand pignon je plafonnais à 5 km/h. Or il restait encore 5 km avant Courance. Je décidai d’abandonner et revenir avec  la voiture balais.

Juste pour le plaisir… CC-BY-SA